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Mourrons dans le superflu.

12 juillet 2011

Love Sucks.


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♣ Jeunesse Vampirique ?

Vampire Diaries, Twilight...Quelle différence ? Ce n'est toujours que la projection indémodable de l'Amour porté à un badboy.Le vampire contemporain n'est à mes yeux qu'une métaphore du Badboy. Dans les deux cas, les critères sont les mêmes :

-  Réfractaire à la normalité .

- Doit émaner le danger.

- Compliqué sentimentalement / Libertin.

Il est certain que d'être l'élue d'un être mystérieux, insaisissable et transpirant le risque, a quelque chose de séduisant. Cela dit quand je lis sur certains blogs et autres que bon nombre de filles sont raides dingues de Vampires et veulent être ( ou pire encore se disent être ) des vampires, je suis bien triste d'être dans l'incapacité de leur foutre une grosse claque.  

Non mais sérieusement, c'est ça qui vous branche ? Un type à la dentition d'un caniche-toy, avec une peau en placoplâtre, craignant les barbecues et vous regardant comme si vous étiez un petit filou tubz ? D'autant plus que tous ces critères ont l'air de rendre une certaine crédibilité à leurs répliques sentimentales à la james Blunt. Oui, parce que le genre de nanas "fana des vampires " affirmeront très clairement qu'au moins dans Twilight et Vampire Diaries, le véritable Amour existe. 

> Pourquoi ça serait " romantique " pour un vampire de tomber amoureux de sa proie ? Nan parce que le jour où on lira dans un quotidien qu'un type est tombé amoureux de sa salade césar, je doute qu'elles trouvent ça très romantique.

> 'Puis un type qui s'fait un cocktail en plantant une paille dans le corps d'un rat ça n'a rien de "sexy".

> Et pour finir, venant de filles qui ne font pas la différence entre un personnage et un acteur, je ne peux considérer un instant que cette conception d'amour vampirique soit le " véritable Amour ".

Nan allez finis de jouer, on se remue les fesses mes chéries, c'est pas Edward ni Stefan qui payeront vos factures plus tard.

 

 

 

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Mourrons dans le superflu.
  • Tous ces cafés/clopes en terrasse ne sont que d'inutiles clichés qui m'ont plongée dans une normalité sécurisante bien que superflu. Cette analyse profonde de moi-même et de ce qui m'entourait n'était qu'un retour à mes premières interrogations. Certaines
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